PETITES ET GRANDES HISTOIRES DU MOUN

On croit que la voie publique reste publique à jamais. Eh bien on se trompe. J'avais déjà entendu parler de particuliers qui fermaient l'accès de sentiers menant à la rivière (je ne sais plus laquelle du Midou ou de la Douze, la Douze je crois) afin de ne plus y croiser une population indésirable. Mais ils fermaient aussi l'accès aux touristes et aux Montois qui ont tout à fait le droit de s'y promener.
Là l'affaire est un peu différente, puisque c'est un syndic qui a fait fermer le passage érigé sur la voie publique.
Alain Lafourcade vous raconte tout, cliquez!

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La seconde histoire démarre dans le magazine local intitulé M2M n°27 avec la vignette colorée reproduite ci-dessus.
Je ne sais pas si les gens qui écrivent dans le magazine visualisent les choses. Essayez donc d'aller faire boire un bovidé dans le lavoir de la cale de l'abreuvoir... C'est en demi-cercle, les entrées ne sont pas aisées (pour un bovin, pas pour un humain), et tout ça est fait exprès, les lavandières n'avaient aucune envie que leur linge ne côtoie des mufles baveux (je parle toujours des bovidés, pas des individus chargés de les conduire). De nos jours pareil, j'ai déjà vu des chiens boire dans la Midouze, mais jamais dans le lavoir.
Bref si la cale de l'abreuvoir s'appelle ainsi c'était bel et bien à cause d'un abreuvoir installé sur la façade du "Lido", qui a été démonté en 1984, et qui est toujours là, dans le Moun, à l'entrée du musée Despiau-Wlérick: il sert de jardinière.
Je demande donc ici, avec Bernard Lalande qui m'a soufflé l'idée, que l'abreuvoir réintrègre sa place première, avec une signalétique indiquant l'histoire du nom de la rue, au moins ça éduquera les générations futures.


Le Port de Mont de Marsan, avant la construction du lavoir, édifié en 1870.
Ce tableau était accroché dans la salle du conseil municipal du temps de Philippe Labeyrie.

Alain, Bernard, isa du moun


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